Jean Lassalle – Candidat à la présidentielle
Les positions biopolitiques de Jean Lassalle
Peu de prise de position ou d’engagements publics connus à ce jour sur ces sujets
Ne s’est pas prononcé publiquement sur le sujet.
Ne s’est pas prononcé publiquement sur le sujet.
Pas de prévention IVG connue à ce jour.
Le 28 janvier 2014, a voté pour la loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes, qui banalise notamment l’avortement.
Absent le jeudi 1er décembre 2016 et le 26 janvier 2017 pour voter sur la proposition de loi socialiste relative à l’extension du délit d’entrave à l’IVG.
Il fait part de ses craintes quant à la « mercantilisation des corps », si le gouvernement envisageait la PMA ou la GPA.
Europe 1 – Le 21 février 2014
Il fait part de ses craintes quant à la « mercantilisation des corps », si le gouvernement envisageait la PMA ou la GPA.
Europe 1 – Le 21 février 2014
« J’ai voté contre, et ce débat m’a été insupportable. A tel point que j’avais du mal à rester à l’Assemblée tant j’ai l’impression que nous baissions en civilisation. Notre pays qui a contribué à la faire monter, par ses grands penseurs. Là, nous nous avilissions dans ces discussions. J’ai pu vérifier sur le terrain que ça n’avait pas été mieux vécu. (…) J’ai voté contre, non pas pour le faire que les couples homosexuels se marient. Mais j’étais opposé au mariage : je pense qu’il a une double connotation, civile d’abord, puis religieuse forte. C’est sacrement. J’avais proposé qu’on appelle ça l’union civile. Avec les mêmes droits. Je ne voyais pas tellement l’utilité de passer à ce dossier sociétal immédiatement. »
Europe 1 – Le 21 février 2014
« Définir une politique d’ensemble sur les handicaps, intégrant les handicaps non visibles. Prévoir la prise en compte, dès avant un diagnostic précis de maladie ou handicap, des difficultés majeures identifiées. Construire des hébergements de vacances accueillant à la fois les personnes âgées, ou handicapées, et celles qui les aident. Autoriser des travaux d’adaptation au handicap dérogeant aux normes, selon le cas de la personne.
Affecter des jeunes du Service National, formés, à l’assistance au handicap ; d’autres pour animer les maisons de retraite et les EHPAD. Mettre à niveau les équipements urbains pour les rendre accessibles malgré les handicaps ; à commencer les trottoirs à rendre accessibles aux fauteuils roulants. Scolariser tous les enfants dont les parents le demandent, quel que soit leur handicap. Proposer une formation adaptée à chaque enseignant accueillant un élève handicapé. Généraliser le repérage des troubles autistiques avant l’âge de 3 ans. »
Site de campagne : le projet de Jean Lassalle (Paragraphes : 6.11 à 6.14 ; 9.3 ; 12.28 à 12.30)
Ne s’est pas prononcé publiquement sur le sujet.
« J’ai d’abord beaucoup apprécié la manière dont cette proposition de loi a été préparée par Alain Claeys et Jean Leonetti. Je suis de ceux qui pensent qu’elle constitue un nouveau progrès par rapport à la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite « loi Leonetti » (…) Il ne faut pas aller plus loin. Je le dis en mon âme et conscience : je ne vois ce qui m’autoriserait à le faire. Il serait dommage d’adopter ces amendements [concernant l’euthanasie et le suicide assisté] car ils jetteraient un voile sombre sur une belle et jolie proposition de loi : je ne les voterai donc pas. » Résumé de la Séance du 11 mars 2015 à l’Assemblée nationale