« Je pense que la loi Léonetti de 2005, en légalisant l’euthanasie passive, a marqué un certain progrès et levé une partie de l’hypocrisie qui régnait en la matière. La loi Claeys-Léonetti de 2016 me semble également aller dans ce sens en renforçant l’idée de directive anticipée et en autorisant clairement la sédation profonde. D’une manière générale ou plutôt abstraite je suis aussi pour qu’il soit permis à chacun de pouvoir s’appuyer sur « une aide active à mourir lorsqu’il juge que sa propre vie n’est plus que de la survie, douloureuse ». »
Nathalie Artaud – Le site de Lutte ouvrière