Nathalie Kosciusko-Morizet – Primaire à Droite
Parti politique : Les Républicains
Candidat à la Primaire de la droite
Suivre l’actualité de Nathalie Kosciusko-Morizet :
Les positions biopolitiques de Nathalie Kosciusko-Morizet
sur les questions bioéthiques
A voté contre la loi du 6 août 2013 autorisant, sous certaines conditions, la recherche sur l’embryon.
« Je ne vois pas bien au nom de quoi on refuserait aux couples de femmes le droit à la procréation médicalement assistée (PMA). Il importe que les conditions de la filiation soient claires, mais les couples homos ne mentent pas sur ce sujet, et disent aux enfants comment ils ont été conçus. Quelle est dès lors la différence avec un couple hétéro ayant eu recours à la PMA ? Si ce n’est que celui-ci peut dissimuler plus facilement les conditions de la conception ? (…). La filiation a remplacé le mariage comme engagement fondamental. Nous devons en tirer toutes les conséquences. »
Livre : Nous avons changé de monde – p. 84
« J’ai, à titre personnel, une position arrêtée sur la GPA, qui est une position de principe : le corps ne se vend, ne se prête, ne se loue pas. Il est indisponible à toute transaction. »
Livre : Nous avons changé de monde – p. 84
« L’abrogation de la loi Taubira n’est ni souhaitable, ni possible »
Libération – 17/11/2014
N’a pas voté, s’est abstenue lors du vote solennel sur la loi du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe.
« Je suis favorable à l’adoption des enfants par les couples homosexuels »
Livre : Nous avons changé de monde – p. 84
La dépendance est dans toutes les familles, chez chaque Français qui doit s’occuper d’une personne en situation de handicap, parfois malheureusement dès son plus jeune âge, ou d’un parent que l’âge rend de moins en moins autonome. (…) Pour conduire la réforme, il faut un pilote : le ministère à l’accompagnement de la vie. Identifié, chargé du handicap et de la dépendance, concentrés sur ce chantier prioritaire. (…) Le financement privé est la condition essentielle pour que la réforme intervienne rapidement et soulage les familles. Pour le financement, je propose une contribution obligatoire dépendance qui consiste en une majoration de 5 % des contrats d’assurance multirisques, collectée par les assureurs. (…) Concrètement, le financement doit servir, pour chaque personne dépendante, à garantir un accompagnement. Programme p. 17
La dépendance est dans toutes les familles, chez chaque Français qui doit s’occuper d’une personne en situation de handicap, parfois malheureusement dès son plus jeune âge, ou d’un parent que l’âge rend de moins en moins autonome. (…) Pour conduire la réforme, il faut un pilote : le ministère à l’accompagnement de la vie. Identifié, chargé du handicap et de la dépendance, concentrés sur ce chantier prioritaire. (…) Le financement privé est la condition essentielle pour que la réforme intervienne rapidement et soulage les familles. Pour le financement, je propose une contribution obligatoire dépendance qui consiste en une majoration de 5 % des contrats d’assurance multirisques, collectée par les assureurs. (…) Concrètement, le financement doit servir, pour chaque personne dépendante, à garantir un accompagnement. Programme p. 17
« Il n’est pas (de question) plus difficile. Je fais partie de ceux qui ne sont pas tout à fait satisfaits de la situation actuelle, mais ne se sentent pas pour autant prêts à sauter le pas vers l’euthanasie. (…) Je suis absolument opposée au suicide assisté, comme il est pratiqué dans certains pays ». (…) « Je suis sûre que le rôle de la société est de retenir le geste de ceux qui veulent y mettre fin [NDLR à la souffrance morale, au mal-être, à l’angoisse et à la solitude] par la mort, et dans la mesure du possible de les soulager, plutôt que de les accompagner ».
Livre : Nous avons changé de monde – p. 178
A voté pour la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits pour les malades et les personnes en fin de vie.