FIN DE VIE

OFFENSIVES POUR FORCER LE DON D’ORGANES

Loi Santé du 26 janvier 2016

Les personnes sont présumées avoir accepté de donner leurs organes après leur mort, sauf refus exprimé. Cette présomption est renforcée par cette loi, ce qui interroge d’autant plus avec l’expérimentation en cours d’une nouvelle catégorie très controversée de donneur d’organes (appelée Maastricht 3), qui désigne des personnes décédées à la suite d’un arrêt programmé des thérapeutiques
actives.

Autres mesures :

Fin de vie : Instauration d’un « droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès », ambigu et dangereux
Diminution des aides et prestations aux familles
Invention d’un « Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes » (HCEfh)

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